Palindromes de syllabes

Nigaud à Porto Rico rit Topor agoni.

Zazie à Jéricho a corrigé Aziza.

Niquez la miss en Islam, Kenny.

Grimé à Niort, célèbre les seniors amaigris.

Zébrons les narcos, connards les bronzés.

Tu t'es diverti cet hiver, dis têtu.

Mate, Thomas Edison dit ; "C'est ma tomate"

Toi Monkey, à Barcelone talonne ce baraqui montois.

Hop, l'estimé métis m'aimait il, Ésope ?

Dick, puéril vizir, des ménestrels naissent mes désirs virils et pudiques.

Beurre-t-on le Maire ? Au tapin, pinta Omer le tombeur.

Jouez pantins, ce Perse perce tympans et joues.

Rythmez, répétons, demande ton père émérite.

Né rebelle, lâché, j'ai logé chez la belle Renée.

Mère, l'attachante Dalida te chanta la Mer.

Emma, quelle peine ! Le reggae guérit Le Pen qu'Elma aime.

Quel rat déridait Raquel ?

Carlos Perez espère l'Oscar.

Godard maudit dix mots d'argot.

J'adore ton bouquin "Pékin, bouton d'orgeat".

Mais oui le camembert manqua le huit mai.

Henri encule Hercules en riant.

Kenny, Macron m'a niqué.

Mais qu'a la nounou là camée ?

Andy, garçon dément, Delacroix l'a demandé, son gardian.

Gala, Maradona dort à Malaga.

Ris pas, l'attachant Maxou, ami d'Yma Sumac, chanta là Paris.

Oscar le garçon gare le carrosse.

Allez vers ces demis tyrans timides, sévère Léa.

Verni, Henri rit en hiver.

Dis t'es décidé Teddy ?

Trimeur, ta vie t'a meurtri.

Tyrans gamins, Pancho Villa, tes cow-boys boycottaient la vie chope en main, garanti. 

Là et pas là, l'abruti brûla la paëlla.

Le lâche dirait : "Quant à l'attaquant raidi, lâche le"

Oh Dali révérait l'Idaho.

Mets la, Mick Jagger, gémit Kamel.

Eh tyran, Raspoutine pourra s'en tirer ?

Là à Lima, Belmondo, mon bel ami alla.

Tayaut, Thomas Sankara cassant ma Toyota.

Coi mais hautain, Mahomet au matin, ô Mecquois !

Uléma, le mal est où ?


Contrepèteries

Le la b eur me p èse. J'aime Béz i ers, P è re. B ien les paren th èses … !